Madame, Monsieur,
Votre annonce invitant
les auteurs à soumettre une petite pièce de théâtre au thème de la justice
sociale pour le festival du théâtre des jeunes a attiré mon attention. Je crois que la justice sociale est importante,
que c’est une cause à laquelle les jeunes peuvent participer facilement, et que
le théâtre est la méthode la plus efficace pour inspirer les personnes aux
causes. Beaucoup de jeunes aujourd’hui
s’intéressent aux arts et si on peut les guider vers les causes humanitaires et
les causes de la justice, on peut changer le monde.
Quand j’ai
travaillé pour La Nouvelle Revue Française nous nous sommes concentrés sur les
moyens de captiver les jeunes par le style et le sujet des histoires. J’y ai appris les types d’histoire qui
gardent efficacement l’attention des jeunes.
Pour mon deuxième roman, La guêpe
inévitable, j’ai dépensé beaucoup de temps avec les adolescents de la cité
pour ma recherche. Si j’écris le pièce
du théâtre je pourrai utiliser la connaissance de cette expérience, et je
pourrai écrire sur les sujets qui sont intéressants aux jeunes.
Je suis
passionnée par la justice sociale. Les
sujets de mes romans montrent les aspects différents de la justice
sociale. Dans La douleur de la mère j’ai examiné les maladies mentales et comment
la société se comporte avec les personnes avec ces maladies. Amour
Illicite évoque le thème de la race et le droit d’épouser n’importe qui si
on est amoureux. La guêpe inévitable et Le
cottage près de la mer montrent des histoires des personnes des classes
socio-économiques différentes. Je n’ai
pas peur d’écrire sur les sujets délicats et j’ai l’expérience d’aborder ces
sujets dans une manière respectueuse.
J’aimais
travailler pour le Festival d’Avignon.
« Le Salon » a été ma première pièce de théâtre et j’ai trouvé
cette expérience épanouissante. Les
spectateurs réagissent au théâtre d’une manière plus instantané que les lecteurs
de romans et je souhaite continuer ce type du travail.
J’ai appris à communiquer
avec les personnes d’autres langues et d’autres cultures quand j’ai travaillé
pour le magazine Lire. C’était une bonne expérience où j’ai appris
les fondations de beaucoup de langues et j’ai appris plusieurs des aspects des
cultures différentes. Malgré que je
n’écrive pas d’histoires en anglais avant, je pourrai écrire en anglais afin de toucher un public plus
vaste.
J’anticipe avec
plaisir l’occasion de vous rencontrer pour discuter cette opportunité. Contactez moi, s’il vous plaît à mon adresse
e-mail, ou à mon numéro de téléphone quand vous voudriez. Je vais vous envoyer un e-mail de suivi dans
quelques jours.
Madame, Monsieur,
mes salutations respectueuses.
Amélie-Marie
Mathieu